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Les erreurs à éviter lors de la souscription d’une assurance-vie

Les erreurs à éviter lors de la souscription d’une assurance-vie

L’assurance-vie est un contrat d’assurance très populaire en France. Celui-ci permet à la personne qui y souscrit d’épargner des fonds. Selon le type de contrat sélectionné, les fonds peuvent ensuite être reversés aux bénéficiaires en cas de décès.

Toutefois, il existe des modalités bien précises et des erreurs à ne surtout pas commettre pour que le contrat soit exécuté dans les meilleures conditions. Ainsi, pour souscrire à la meilleure assurance vie en 2024, il est essentiel d’éviter les erreurs exposées ci-dessous.

Ne pas prévoir la somme nécessaire

Le but de l’assurance-vie étant de financer ses projets ou de couvrir les besoins de ses proches bénéficiaires, il est essentiel de prévoir une somme qui permettra de couvrir la totalité des sommes nécessaires à ces projets futurs.

Il peut également s’avérer judicieux de prévoir une somme réserve en plus, pour parer à tout imprévu. Il faut par ailleurs prendre en compte l’imposition sur le revenu. En effet, la loi de finances 2018 a institué à l’article 28 un prélèvement unique sous forme de forfait, la flat tax, qui s’applique à 30 % des gains des rachats. Il reste toujours possible de choisir l’imposition à la tranche marginale d’imposition + 17,2 % de prélèvements sociaux si cela est plus avantageux pour vous. Notez également que, après 8 ans de détention, l’assurance-vie permet de bénéficier d’avantages fiscaux. Ainsi, vous pourrez bénéficier d’un abattement sur les gains des rachats de 4 600 € pour une personne seule et de 9 200 € pour un couple. De plus, au-delà de 8 ans, la taxation des gains n’est plus que de 24,7 %, à condition toutefois que les encours tous contrats confondus ne dépassent pas 150 000 euros pour une personne seule et 300 000 euros pour un couple.

Ne pas faire attention à la clause bénéficiaire

Tous les contrats d’assurance-vie doivent désigner une ou plusieurs personnes choisies par l’assuré. Les bénéficiaires sont les personnes physiques ou morales auxquelles la somme épargnée sera versée.

La clause bénéficiaire est une partie essentielle du contrat. Elle désigne la ou les personnes choisies par l’assuré pour percevoir le capital restant sur le contrat qui sera versé aux bénéficiaires au décès du titulaire du contrat. Cependant, la répartition des fonds peut varier et leur utilisation est libre.

Les bénéficiaires ne sont donc pas obligés d’utiliser les fonds pour financer les funérailles par exemple. Les modalités de versement peuvent aussi être fixées avec des conditions à remplir pour toucher les fonds par exemple pour les bénéficiaires de moins de 25 ans.

Négliger le mode de gestion

Lors de la souscription à un contrat d’assurance-vie, il faut bien choisir son mode de gestion. La gestion libre permet de choisir en toute autonomie les supports d’investissement et leur répartition. Il est aussi possible de mettre en place une gestion sous mandat. Dans ce cas, un professionnel s’occupera d’investir l’épargne.

Enfin, pour les contrats à long terme, la gestion à horizon permet de choisir des placements en fonction de l’âge et des objectifs à atteindre. Chaque mode de gestion correspondra à différents bénéficiaires selon le profil de la personne et ses besoins.

Une prévoyance nécessaire pour la famille

L’intérêt d’une assurance-vie, un placement souscrit par 45 % des ménages français, est bien évidemment de pourvoir réaliser tous ses projets, y compris ceux liés à la famille : achat de la résidence principale ou secondaire, financement des études des enfants, de sa retraite, etc. C’est une solution adaptée pour concrétiser tous ses projets de vie et mettre sa famille à l’abri.

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